Dans son discours du Salon de l'Horloge le 9 mai 1950 au quai d'Orsay, Robert Schuman déclarait :
« L'Europe ne se fera pas d'un seul coup, ni dans une construction d'ensemble. Elle se fera par des réalisations concrètes créant d'abord une solidarité de fait. »
Le 16 avril dernier à la Maison Blanche, Barack Obama présentait sa vision pour transformer le visage des voyages en Amérique : un réseau de trains à grande vitesse reliant les principales métropoles des États-Unis, San Franciso à Los Angeles et San Diego, Portland à Seattle et Vancouver, Detroit à Chicago et Mineapolis, Dallas à Little Rock, Philadelphie à Atlanta, Atlanta à New Orleans, Miami à Orlando, etc.
« Ma proposition de rails à grande vitesse conduira à des innovations qui changeront notre façon de voyager en Amérique. Nous devons commencer à développer des transports propres et qui économisent de l'énergie qui définiront nos régions pour les décennies à venir ».
Et si l'Europe en faisait autant ? La grande vitesse européenne est un projet concret pour relier les Européens : Bruxelles à Luxembourg et Strasbourg, Lyon à Milan, Berlin à Varsovie, Athènes à Belgrade, Bordeaux à Madrid, Prague à Budapest, Vienne à Istanbul, Hambourg à Stockholm, Rome à Salzbourg, Riga à Kiev, Helsinki à Saint-Pétersbourg...
lundi 4 mai 2009
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Il ne faut pas oublier les lignes régionales aussi
RépondreSupprimerMiliter pour la réouverture des gares
OK Avec David et + que les lignes régionales: lier les régions économiques et culturelles entre elles, et pas seulement les capitales..
RépondreSupprimerNord Sud:
Amsterdam-Düsseldorf-Frankfurt-Strasbourg-Lyon Marseille-Montpellier-Barcelone!