* ERRATUM : en observant attentivement les résultats de Sélestat et de Haguenau, on s'aperçoit qu'il existe forcément un 12ème électron libre ! Douze au minimum, 22 au maximum (11 x 2).
Comme chacun sait (ou peut-être pas) les électrons libres sont des entités physiques strictement minoritaires, quasiment invisibles, à peine mesurables mais qui réussissent l'exploit de faire tenir ensemble la Matière, le Monde et l'Univers tout entier ... :o)
Ainsi par exemple, les électrons libres solidarisent deux à deux les atomes d'oxygène pour former un composant essentiel de notre air respirable : l'oxygène (en fait, dioxygène : O2).
Autre exemple, les électrons libres solidarisent un atome de chlore et un atome de sodium pour former le sel - le sel de table, le sel de mer (NaCl). Mais peut-être aussi, le sel de la terre et le sel de la vie, qui sait ?
Autre exemple, les électrons libres solidarisent deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène pour former l'eau (H2O) sous sa forme liquide (la pluie, les rivières, les océans) et sous sa forme nébuleuse et vaporeuse -- les nuages de catégorie : moyens, bas, élevés ou verticaux, pour les spécialistes de la météo.
Espérons que sous leur forme liquide, les électrons libres du MoDem 67 pourront rendre flottables toutes sortes d'embarcations, parfois assez improbables, comme la récente Présidence collégiale du MoDem 67... :o)
De tout cœur, je souhaite bonne chance à l'embarcation d'Anne M, de Jean-Marcel B, de Cédric B, de Jacques B et de Danièle M. Je recommande à Jacques B. de ne pas trop chahuter et à Danièle M. de stabiliser l'embarcation, autant qu'elle peut. Bon courage à Anne M. et à ses deux copilotes...
L'avenir nous dira s'il s'agit de l'Arche de Noé ou d'un Radeau de la Méduse...
Merci donc aux 11 électrons libres du Mouvement démocrate du Bas-Rhin qui ont accordé leurs suffrages aux listes Rassemblement démocrate de Lucia D'Apote pour la Conférence nationale et pour la Présidence départementale -- et ce malgré l'iniquité profonde de la campagne électorale.
Les résultats communiqués ce soir par la commission électorale m'inquiètent. Le verrouillage des trois élections a bel et bien eu lieu. Qu'on en juge :
Pour Ambition démocrate :
- 67 suffrages pour la Présidence départementale
- 67 suffrages pour le Conseil départemental
- 66 suffrages pour le Conférence nationale
Pour Libres, Clairement démocrate :
- 199 suffrages pour la Présidence départementale
- 199 suffrages pour le Conseil départemental
- 197 suffrages pour le Conférence nationale
Pour Initiative démocrate :
- 95 suffrages pour la Présidence départementale
- 103 suffrages pour le Conseil départemental -- bravo Audrey !
- 96 suffrages pour la Conférence nationale
Pour Rassemblement démocrate :
- 11 électrons libres pour la Présidence départementale
- 11 électrons libres pour la Conférence nationale
Bulletins blancs – suffrages exprimés :
- 1 pour la Présidence départementale
- 4 pour le Conseil départemental
- 1 pour la Conférence nationale
Pourquoi organiser 3 élections si une seule suffit ?
Ces résultats dénotent deux choses :
- La mainmise d'une équipe (LCD) via les contacts hérités de l'ancienne UDF et via les contacts exclusifs vers les nouveaux adhérents, dont les autres équipes n'avaient pas connaissance.
- Le verrouillage des élections par les 3 équipes puisque, sur 378 votants (28% des inscrits) seuls 11 électrons libres se sont affranchis de l'autorité de leur « tête de liste »
Je tiens à remercier les 11 électrons libres ayant permis l'élection de Lucia D'Apote et de moi-même à la Conférence nationale.
Et special Thanks à Julie R, Thierry F, Alireza B, nos colistiers à la Présidence, sans lesquels cette candidature n'aurait pas pu être défendue.
Bravo pour cet hommage aux électrons libres. C'est eux qui feront la réussite du Modem!!!
RépondreSupprimer11 (donc 9) votants, 2 élus !
RépondreSupprimergros score, bravo.
Attention toutefois avec cette théorie des
RépondreSupprimerélectrons libres ... Les liaisons atomiques que tu décris ne sont d'abord pas du même ordre. On distingue les liaisons covalentes (O-O, H-O-H) des liaisons ioniques des cristaux de chlorure de sodium (Na+, Cl-) qui mettent en jeu des énergies bien différentes ... Met donc du sel dans de l'eau, et on verra si tes cristaux tiennent la route ;o)
Surtout, dans les règles de chimie quantique élémentaires, un électron est à la fois onde et corpuscule. Mais les deux états ne peuvent être visualisés en même temps. C'est ainsi que dès qu'il doit se déterminer, l'aspect "libre" de l'électron disparaît ... N'est ce pas le cas dans une élection, pour mélanger les genres ...
La sueur va peut être te monter au front lorsqu'en plus on apprend que les états d'énergie des électrons sont déterminés et limités par des lois probalistiques ...
Aie aie aie ... pas si libres les électrons ;o)
Pierre, je me permets juste quelques petits compléments au niveau de la physique de l´électron libre.
RépondreSupprimerComme tu le dis, sauf dans des cas de collision de haute énergie ou l´électron est éjecté dans le vide, en absolue l´électron libre n’existe pas. S´il se libère de l´influence d´un noyau, c´est pour mieux adhérer au voisin, puis à un autre et ainsi de suite. Tu as raison, de par leur mobilité l´action des électrons «libres » est primordiale: ils assurent la cohésion de groupe des grosses structures moléculaires comme des petites, leurs offrent en même temps la flexibilité et les degrés de liberté nécessaire, ils sont les agents actifs des réactions, ils transportent l´énergie et assurent la conductivité.
Ils sont donc libres et clairement bosseurs, ils agissent pour la cohésion et le rassemblement. Est-ce là le rôle que tu voudrais à jouer dans la future organisation ? Ce serait super !
ERRATUM : en observant dans le détail les résultats de Sélestat et Haguenau, on s'aperçoit qu'il existe forcément un 12ème électron libre ! Douze est un minimum, et 22 au maximum (11 x 2).
RépondreSupprimerLa liberté, Guillaume, en ce bas monde est toute relative.
RépondreSupprimerDans ce sens, si celle-ci est un idéal vers lequel tendre, cela n'exclut pas de se "déterminer" et donc de s'engager... bien au contraire: on ne peut concevoir la liberté sans choix!
La liberté EST le pouvoir de choisir.
Lorsque on perd ce pouvoir, c'est qu'on est dépendant et on devient dépendant lorsque tu considères que "l'autre" détient "quelque chose" que tu désires.
Lorsqu'on est capable de se détacher de "l'objet de son désir" en politique parce que nos principes, nos valeurs fondamentales ou notre éthique sont en jeu, on est un électron libre.
Mon "ambition" est de le rester :-)
Lucia D'APOTE
PS : savoir pour savoir, puisque tu es un chimiste et moi un concepteur (-rédacteur en autres) sais tu que le mot « ambition » vient du latin signifiant « démarche pour se faire élire » ? ;-)
@ philippe :
RépondreSupprimermerci d'avoir complété le tableau !
les électrons libres comme 'agents actifs des réactions' (chimiques je suppose) ... on est sur la bonne voie, non ?-)
et comme porteurs d'énergie, on verra bien à l'endurance !
j'ai demandé à notre nouvelle présidente départementale de pouvoir assister au prochain conseil départemental comme électron libre.... euh... auditeur libre plutôt !
alors peut-être à bientôt ?