Avant de regarder la paille que certains ont dans l'oeil, regardons la poutre que nous avons au sein de notre propre parti.
Bon ok ok j'exagère mais François B n'est pas tellement différent de Nicolas S... regarde comme nos chers amis démocrates marchent au doigt et à l'oeil même face aux hérésies démocratiques demandées par le chef.. enfin le doigt dans l'oeil, je voulais dire :-)
Patrick Roger est un journaliste scrupuleux qui rapporte des faits, en l'occurrence les propos tenus par Nicolas Sarkozy aux députés de sa majorité parlementaire.
Moi, je trouve ça très intéressant.
Se vanter d'avoir su "gérer l'UMP comme une marque" pour les Européennes, voilà qui en dit long sur le personnage et sur l'emprise des communiquants dans son entourage.
Et puis la 1ère clé du succès attendu de 2012 : déstabiliser l'adversaire et lui bouffer ses idées" comme il dit... On pourrait appeller ça un parasite opportuniste, non ?
Cher Pierre, veux tu me faire croire que ton choix de billet était totalement innocent? ;-)
Pour moi, nul besoin d'avoir des éléments supplémentaires sur la gestion de Nicolas S. tant elle est évidente: de la strat de com à fond, comme on dit.
Néanmoins si j'agréée le qualificatif d"opportuniste", celui de parasite ne se justifie pas à mon sens ;-)
Avant de regarder la paille que certains ont dans l'oeil, regardons la poutre que nous avons au sein de notre propre parti.
RépondreSupprimerBon ok ok j'exagère mais François B n'est pas tellement différent de Nicolas S... regarde comme nos chers amis démocrates marchent au doigt et à l'oeil même face aux hérésies démocratiques demandées par le chef.. enfin le doigt dans l'oeil, je voulais dire :-)
Mais qui critique, là ? Personne !
RépondreSupprimerPatrick Roger est un journaliste scrupuleux qui rapporte des faits, en l'occurrence les propos tenus par Nicolas Sarkozy aux députés de sa majorité parlementaire.
Moi, je trouve ça très intéressant.
Se vanter d'avoir su "gérer l'UMP comme une marque" pour les Européennes, voilà qui en dit long sur le personnage et sur l'emprise des communiquants dans son entourage.
Et puis la 1ère clé du succès attendu de 2012 : déstabiliser l'adversaire et lui bouffer ses idées" comme il dit... On pourrait appeller ça un parasite opportuniste, non ?
Mais je commence à critiquer, là :-)
Cher Pierre, veux tu me faire croire que ton choix de billet était totalement innocent? ;-)
RépondreSupprimerPour moi, nul besoin d'avoir des éléments supplémentaires sur la gestion de Nicolas S. tant elle est évidente: de la strat de com à fond, comme on dit.
Néanmoins si j'agréée le qualificatif d"opportuniste", celui de parasite ne se justifie pas à mon sens ;-)