Depuis la déclaration de Rio en 1992 et le protocole de Kyoto en 1997, le réchauffement climatique est perçu comme un risque majeur pour les habitants de la planète. Les gaz à effet de serre d'origine anthropique sont désignés comme étant les principaux responsables du changement climatique.
Alors que le GIEC – Groupe d'experts international sur l'évolution du climat – éclaire à lui seul les décisions politiques internationales pour réduire les gaz à effet de serre, quelques voix se font entendre pour remettre en cause certaines observations, interprétations ou conclusions scientifiques des seuls climatologues.
À la suite de Claude Allègre, plusieurs géologues, planétologues, apportent quelques éléments très intéressants au débat. Des voix libres, indépendantes, courageuses, qui ne manquent pas de nous interroger sur la place de l'expertise scientifique dans les politiques publiques et les décisions démocratiques.
Pour l'illustrer, j'ai choisi ces deux vidéos :
- un clip de communication 'sympa' sur l'urgence climatique
- une conférence de Vincent Courtillot, membre de l'Académie des sciences, géologue, directeur de l'Institut de physique du globe, qui apporte de sérieuses nuances sur la réalité du réchauffement climatique, explique ses réserves sur les causes réelles de ce réchauffement et souligne la nécessité pour les politiques d'avoir des éclairages scientifiques pluridisciplinaires sur des questions aussi importantes.
Si vidéo hachée, on peut la télécharger ici.
Transition sans commentaire...
On a raison de se poser des questions.
RépondreSupprimerNe pas décourager aussi les pays à faire de la protection de notre environnement, sans spéculer sur le "climat". Avec réchauffement ou avec refroidissement ou avec aucun changement il nous faut lutter contre les déchets, les pollutions, et prévoir de nourrir l'humanité.
Merci pour cet article Pierre.
Avais-tu lu celui-ci:
http://fanal-safran.over-blog.com/article-panne-d-essence-38701130.html
Parlons net avec Vincent Courtillot
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