lundi 18 janvier 2010

L'Union européenne après Copenhague : débat avec Corinne LEPAGE (MoDem) et Sandrine BÉLIER (EE)

[MISE À JOUR du 23 janvier] : Lire le compte-rendu d'Antoine SPOHR sur Agoravox

Café Babel, les Jeunes Européens et le Club de la presse de Strasbourg organisent demain un débat sur le thème :

« Après l'échec de Copenhague,
l'Union européenne peut-elle (encore) agir
en faveur de l'environnement ? »



Mardi 19 janvier à 20h30
au Club de la Presse, 10 place Kléber à Strasbourg.

avec la participation de :
Entrée à côté de la banque Barclays, le Club de la Presse est au 1er étage. Venez nombreux et diffusez très largement cette info !
NB : N'oubliez pas de vous inscrire ici.
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4 commentaires:

  1. Bravo Pierre pour avoir fait en sorte que Corinne Lepage puisse participer à ce débat et donner le point de vue du MoDem sur la question de l'après Copenhague.

    Sans "régionaliser" l'événement, il nous faut confronter notre vision de l'écologie à celle des Verts lorsque cela est possible car la vision de l'écologie n'est pas uniforme.

    En effet,si nous sommes d’accord avec eux sur bon nombre de points dont notamment le fait de sortir du nucléaire ou d’investir dans les énergies renouvelables ou de développer de manière intensive l'agriculture biologique, nous sommes plus dans une dynamique de propositions de solutions, d’innovations et des possibilités de transitions que d’oppositions obsessionnelles, systématiques et radicales aux politiques libérales.

    Si les Verts et la gauche en général sont pour privilégier l’écologie et le social au détriment parfois de l’économie,
    si la droite est pour privilégier l’économie au détriment parfois du social et de l’écologie,
    nous sommes pour respecter l’équilibre les 3 à savoir du social, de l’écologie et de l’économie : c'est cela le développement durable.

    Si les Verts sont pour une « écologie radicale » et l’UMP pour une « écologie populaire », nous pronons une ECOLOGIE REALISTE.

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  2. Dans la logique d'une écologie réaliste, sortons d'abord du "tout nucléaire" car on ne sortira pas du nucléaire d'un claquement de doigts...

    Les pays européens qui ont refusé le nucléaire ont une empreinte carbone bien plus importante que la France, malgré le développement remarquable de leurs énergies renouvelables.

    Alors commençons par rattraper notre retard dans ce domaine, en investissant aussi dans des secteurs nouveaux. Mais gardons-nous de ces postures démagogiques laissant croire que demain, la voiture électrique serait préférable au développement encore nécessaire des transports en commun, et tout ça en nous passant du nucléaire du jour au lendemain !

    Oui, il faut diminuer la part du nucléaire dans l'électricité, à grande vitesse mais sans augmenter notre empreinte carbone, ce qui est déjà un véritable défi. N'oublions pas que les Allemands, champions du renouvelable, ont encore une électricité essentiellement produite par du charbon...

    Oui à l'écologie réaliste ! Non à l'écologie punitive et non à la démagogie :-)

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  3. « Nous sommes deux sœurs jumelles… »( Les parapluies de Cherbourg : le duo)

    N’étaient la différence d ‘âge somme toute assez réduite et surtout celle des géniteurs politiques respectifs, on aurait pu les croire jumelles, ces deux députées européennes, invitées par « Les Jeunes Européens » de Strasbourg et CaféBabel au Club de la Presse pour tenter de faire un bilan sommaire de Copenhague et à deux voix .
    Avec un papa Europe-Ecologie, l’une, Sandrine Bélier jeune et fraichement émoulue de l’ action sur le terrain, a acquis avec une rapidité étonnante une aisance dans la rhétorique politique à laquelle sa formation de juriste de l’environnement l’a vraisemblablement préparée.

    L’autre, Corinne Lepage, adoptée (et adaptée à, avec CAP 21 ?), par un mouvement centriste ( MoDem), rompue depuis belle lurette à toutes les formes de débats ( ancienne ministre, avocate de renom…) est toujours aussi sûre d’elle avec une plaisante et sérieuse décontraction. Enfin toutes deux des spécialistes du sujet, car il s’agissait de livrer à un public de jeunes, étudiants pour la plupart, les conclusions, leurs conclusions, à l’issue du sommet de Copenhague. On a donc une forte propension à leur accorder crédit.

    Fiasco total ou tout de même une lueur d’espoir ? (...)

    Lire la suite sur AGORAVOX
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